Les droits et les devoirs des hommes et des femmes en Islam, de Chaykh Rabî Ibn Hâdî Al-Madkhalî.
Louanges à Allah le Sage, le Parfait Connaisseur, Celui qui a créé l’homme et la femme, et a accordé des droits et imposés des devoirs à chacun d’eux.
En effet, il est indéniable qu’Allah a légiféré à Ses serviteurs des lois qui améliorent leur religion et leur vie présente. Il leur a recommandé d’établir la justice entre eux en suivant le Coran et la Sunna et non les passions et les désirs charnels : “Si la vérité était conforme à leurs passions, les cieux et la terre et ceux qui s’y trouvent seraient, certes, corrompus.” [Les Croyants : 71]
Quiconque donc n’est pas satisfait de ce qu’Allah a légiféré n’est pas croyant. Allah dit : “Il n’appartient pas à un croyant ou à une croyante, une fois qu’Allah et Son Messager ont décidé d’une chose d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allah et à Son Messager, s’est égaré certes, d’un égarement évident.”
Parmi ces choses figure la question de la femme qui est soulevée de nos jours, au sujet de laquelle parlent toutes sortes d’individus parmi les hommes et les femmes et ce, pour des raisons d’ignorance ou de passion.
L’éminent Savant le Cheikh Rabî Ibn Hâdî Al-Madkhaly, qu’Allah le préserve, a apporté des critiques afférentes. Il y a expliqué ce qui a été avancé comme propos entachés de confusion et d’ignorance prétendant que les droits des femmes seraient totalement lésés.
Si cela est une accusation envers l’Islam d’être injuste envers la femme, c’est alors une mécréance en Allah. Et si c’est une accusation contre certains hommes d’être injustes envers les femmes, cela peut arriver. Mais cela ne doit pas être attribué à l’Islam. On ne peut l’attribuer qu’à celui qui a commis cette injustice (…).
Cheikh Sâlih Ibn Fawzân Al-Fawzân.